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Responsabilité Sociale de l’Entreprise et GPEC : un duo de choc

 

La Commission Européenne donne cette définition de la RSE : « Etre socialement responsable signifie non seulement satisfaire pleinement aux obligations juridiques applicables, mais aussi aller au-delà et investir davantage dans le capital humain, l’environnement et les relations avec les parties prenantes Â». Ce choix d’orientation suppose « l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises à leurs activités commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes Â».

 

Cette attitude de l’entreprise contribue à son image de marque et est attractive vis-à-vis des nouveaux talents. En effet, la responsabilité sociale est un facteur important pour les nouvelles générations de jeunes diplômés, qui mettent en avant des exigences que leurs aînés exprimaient moins. Les entreprises l’ont bien compris, qui valorisent dans leur communication les vertus sociales de leurs politiques.

 

Encore faut-il qu’il n’y ait pas seulement un effet d’affichage ! Une belle vitrine peut être attractive, mais si « l’arrière-boutique Â» est moins pimpante, l’effet sera de courte durée…

 

C’est un peu comme certains accords GPEC. A les lire, on croit rêver ! Et l’on rêve, en effet… Sur le terrain, les pratiques semblent totalement déconnectées des principes énoncés dans les textes. Les salariés, et même parfois les managers en ont d’ailleurs à peine entendu parler… D’autres, qui peuvent paraître moins ambitieux au premier abord, sont suivis d’actions concrètes qui portent rapidement leurs fruits. « Il vaut mieux une méthode qui marche qu’une méthode parfaite Â» !

 

RSE et GPEC peuvent former un duo de choc pour attirer, fidéliser, développer, faire progresser mutuellement les hommes et l’entreprise. Les facteurs clés de réussite sont :

  • une volonté affichée de la Direction Générale, partagée avec les opérationnels ;

  • la cohérence entre le discours et les pratiques : on n’annonce que ce que l’on est sûr de pouvoir tenir ;

  • la participation de tous les acteurs de l’entreprise : pour que les dispositifs soient efficaces, il doivent être relayés à tous les niveaux. Il ne peut pas y avoir de maillon faible !

  • une communication, claire, simple, régulière ;

  • quelques outils, pas trop, juste ce qu’il faut… construits avec les opérationnels pour garantir la bonne adéquation avec l’organisation.

 

Faire simple, est-ce si compliqué ?

© 2013 Evelyne Lagarde

+33 (0)6 75 22 65 66

 

 

Evelyne Lagarde est un entrepreneur porté par ITG 18, rue de la Ville l'Evêque 75008 PARIS
 

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